
DPG
par la revue TINA
Cinquante articles sur TINA online.
Merci pour vos connexions, vos lectures.
# Dans un biotope culturel saturé de signes la revue TINA ajuste ses lunettes. Pas évident. # Dans un environnement artistique survalorisant les idées simples voire creuses TINA bifurque. C’est mieux. # Dans un espace culturel marchand sur-diffusant les produits les plus vendables TINA sue à grosses gouttes. Pas toujours facile de ne pas se faire avoir. # Dans un espace culturel aux égo-surdimensionnés et aux attitudes sous-dimensionnées TINA déchiffre. C’est chronophage mais instructif. # Dans un milieu artistique néo-libéralisé dopé à la puissance du marketing TINA tente d’avaler le moins de fake-art possible. Toujours délicat # Dans certains territoires artistiques, subventionnés ou non, la carte de la visibilité n’est plus forcément jouée, TINA ré-ajuste ses lunettes. Bifurquer. # Dans les confirmations du XXIe siècle la réussite commerciale classifie l’intelligence artistique et sa popularité, TINA ne confirme pas. Pas vous ? # La revue TINA tente une expérience politique, artistique, bricologique, évolutive, libre. Rien n’est figé, tout peut changer, de l’équipe aux formes, du travail de fond aux urgences du monde, d’un.e expert.e qui formule quelque chose d’intelligent et d’utile au voisin.e inconnu.e qui vient d’agir ou d’esquisser une réparation du monde. C’est différent. C’est une expérience, un test pour d’autres modes d’implémentations de l’art, de la littérature, des idées et des imaginaires. #
PS : Dans un contexte de production de la revue TINA par les éditions JOU (qui en 7 ans n’ont jamais touché de subventions publiques) nous sollicitons les lecteurs de la revue TINA online pour nous aider à produire le numéro 1 de la revue papier (in)visibilité(s) :
https://www.helloasso.com/associations/association-jou/collectes/la-revue-tina