Publié le

#55/ Les I.A. par Éric Arlix

Inquiétudes

Peurs

Comprendre les implications

Le travail disparaît

Les enjeux et les impacts purée

Skynet ?

Une machine un peu opaque

Une majorité de français se posent des questions

L’essayer c’est l’adopter

Accéder à la connaissance

On est beaucoup dans le stéréotype

La capacité de faire

Ouvrir le champs des possibles

Bullshit

C’est pas qu’un truc d’ingénieur, de geek et de djeunes

Comment l’on passe d’une logique individuelle à une logique collective

En terme d’assistanat c’est absolument fabuleux

Augmenter mes compétences, une minute au lieu de trois mois

Notamment les jeunes, plus les garçons que les filles

Tout un tas de fantasmes

Rassurer les gens, de l’I.A de confiance

L’I.A c’est la découverte du feu

Traiter des datas, trouver des solutions

Une idéologie transhumaniste.

Un narratif acceptable mais en vrai ?

Ça chamboule toute l’industrie

Une question de souveraineté

TINA « Les I.A. »

parution octobre 2026


Publié le

#50/ DPG par la revue TINA


Publié le

#1/ édito

TINA est une revue d’idées, d’imaginaires et de critiques consacrée aux auteur.e.s et artistes qui prospectent, explorent, s’aventurent loin de la facilité commerciale et des répétitions. TINA prend acte de la sclérose et de la désagrégation du tissu institutionnel hérité de l’âge pré-réseau, ne cherche pas à le sauver ou à l’aménager, et n’applaudit pas non plus à sa colonisation par les industries du luxe et des médias. TINA voudrait accompagner et stimuler l’invention d’autres modes d’implémentations de l’art et de la littérature, en périphérie d’institutions dépassées, de supports vieillissants, d’une critique convenue et de marques sans audace. TINA aimerait remplacer l’obsession de l’audience par la constitution de communautés d’attention, pas forcément aussi radicales que celles de l”immédiatisme” d’Hakim Bey, pas forcément en quittant totalement le(s) marchés(s) mais en repensant des éco-systèmes, des solidarités, de nouveaux modes de transmission. TINA tente de rester éveillée face à la prochaine étape de la marchandisation des arts, sa feelgoodisation, son absorption par le divertissement, un tsunami tendance. TINA n’a pas été élevée dans le culte du respect des artistes, tout aussi dépassé.e.s que les autres individus par un monde qu’iels peinent à réparer. TINA est une revue évolutive qui propose des aiguillages, des flux singuliers, des focus multidisciplinaires sur celles et ceux qui osent, recherchent, utilisent la littérature et les arts comme des outils de transmission, d’émancipation, d’évasion et de critique. TINA croit en l’utopie, dans un monde nouveau, des nouveaux combats, des nouveaux langages. TINA pense qu’il n’y a pas d’alternative à la disparition des Arts, que même invisibilisés les Arts pourront continuer à développer leurs imaginaires même si TINA tremble devant les projections culturelles des uns et des autres, d’un côté des comiques et des bons sentiments, de l’autre le culte du patrimoine et ses valeurs rances, au milieu rien ou pas grand chose, une culture non-essentielle nous a-t-on dit récemment. 

TINA c’est ici : https://editionsjou.net/revue_tina/
et une fois par an sous forme de livre.